Mise en scène du paysage et aménagements évènementiels intégrés à l'environnement

Dans le cadre de l'évènement citoyen du Musée de L'Éphémère du Thier-à-Liège
Un évènement créé sous l'initiative et la direction artistique de Werner Moron en collaboration avec des associations et résidents du quartier des Tawes à Liège



mai 2010, Liège, Belgique


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Une rencontre poétique et citoyenne au sommet du terril du Thier-à-Liège, dans un quartier qui a connu la chance d'être "oublié" des urbanistes et des promoteurs immobiliers pendant des décénies.

Se pose aujourd'hui la question de l'aménagement ou du patrimoine spontanné de ce quartier ainsi que du terril lui-même, devenu un espace nature privilégié mais politiquement fragile.

La rencontre au sommet est apparue, en relation avec une plénière citoyenne qui la précédait d'un jour, pour former un ensemble invitant à la réflexion collective et à la prise de conscience sur les enjeux du paysage au Thier-à-Liège.

Le concept de "Musée de l'Éphémère" imaginé par Werner Moron, est l'institution d'une démarche à la fois poétique et politique de prise en charge de son futur collectif.

Celui-ci affirme : "Dans le catalogue des choses vivantes et minérales qui existent dans ce Musée de l'Éphémère, il faut aussi faire le répertoire des gens qui peuvent nous en dire quelque chose d'intime et comprendre comment l'humus humain a donné corps au paysage et à la culture du lieu." Ce projet devient la "possibilité de réveiller et mettre en oeuvre ses envies d'agir dans son environnement proche et dans un projet collectif, pour nous garantir un cadre de vie agréable."

La rencontre au sommet du terril du Thier-à-Liège, le 1er mai 2010, organisée dans la plus joyeuse simplicité matérielle et financière, est la poursuite espérée du parcours instituant de ce "Musée de l'Éphémère".


Direction artistique et production : Werner Moron et les Paracommand'Arts
Création paysagère : Marvayus (Chloé De Wolf et Joël Larouche)

©Tous droits réservés, 2010

Crédit photo : Jorges Castro Rojas

Remerciements spéciaux à Isabelle Giaux, Richard Lanoy, Juliette Mauduit, Werner Moron et Émilie Rouchon